Gestion Privée : Pourquoi investir en actions sur le long terme ? Quel est le réel risque de vos investissements ?
1. Aversion au risque des Français
Depuis les crises économiques et financières de 2008 et de 2011, l’aversion au risque des épargnants s’est accrue et donc leur méfiance vis-à-vis de la Bourse. Les placements garantis type livrets, dépôts et contrats d’assurance-vie en fonds euros constituent 77% de l’épargne financière des ménages français.
Ces investissements dits « sans risques » offrent une protection du capital qui peut néanmoins s’avérer illusoire sur le long terme car le pouvoir d’achat de ce capital n’est pas garanti.
2. Non investi, le pouvoir d’achat de votre capital diminue
Trois facteurs attaquent le capital : la fiscalité et l’inflation bien sûr, mais également la hausse générale du niveau de vie.
Si votre capital progresse moins vite que la croissance économique, vous vous appauvrissez de manière certaine.
3. Notre raison d’être : préserver le pouvoir d’achat du capital de nos clients et le faire progresser sur le long terme
Selon nous, la seule manière de protéger votre capital contre ces facteurs d’érosion, c’est d’aller chercher de la performance en investissant là où se créé la richesse c’est-à-dire dans les entreprises, en actions.
La contrepartie d’un investissement en actions c’est la volatilité : plus la volatilité est élevée plus les variations de prix sont importantes. Mais il ne faut pas confondre volatilité et risque de perte définitive en capital. A court et même moyen terme, la probabilité d’une baisse existe bien.
Pour investir en actions, il faut du temps.
Il est primordial de bien définir son horizon d’investissement et de s’y tenir.
4. Le risque le plus important est certainement celui de n’en prendre aucun
Il faut reconsidérer cette aversion au risque trop exclusivement associée à la volatilité. Pour valoriser son patrimoine sur le long terme il faut l’associer à la création de richesse collective dans les entreprises et donc investir dans les actions de manière régulière et durable.
La Gestion Privée de Lazard en France
Sophie de Nadaillac et François de Saint-Pierre